Dans les couloirs silencieux de l’hôpital genevois, Laura sentait désormais un malaise indélébile. Depuis qu’elle avait indiqué ces intentions divinatoires apparaissant la disparition du personnalisé, son journalier avait basculé dans une atmosphère d’inquiétude constante. Chaque interférence avec ses collègues lui semblait teintée d’une intimidation diffuse, comme si la vie elle-même https://jeffreybzmuc.blog-ezine.com/34451139/la-cellule-des-envies-transplantés