Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre rond au milieu de son atelier. Elle y jetait les énoncés de cuivre en calme, laissant les appels danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pli. C’était une aspiration lente, une rite née d’un geste traditionnel répété sans arrêt. https://ricardoafjkk.wikissl.com/1379665/les_formes_qui_persistent