Dans un seul cabinet situé en périphérie de embrun, une acupunctrice pratiquait son art depuis plus de 10 années dans une discrétion absolue. Les murs en visée pur, l’odeur d’huiles majeures et le silence constant formaient l’écrin extraordinaire dans les séances chaque jour. Jusqu’au aube où, en plantant une aiguille https://tysondnuyd.free-blogz.com/81343758/la-première-pulsation