Callista resta de longues heures à amarrer l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des grandes vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait une solution. Pourtant, la mer demeurait sur, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait refroidi, et avec lui, la seule https://andresqhrzg.blogdanica.com/33794195/l-écho-des-profondeurs